« Le Mahabharata » de Vyasa est avec « le Ramayama », la plus grande épopée du panthéon indien. Le Maharabharata raconte l’histoire du combat sans merci que se livrent deux clans d’une même famille pour le trône de dynastie lunaire. C’est en s’appuyant sur ces écrits que K Madavane, auteur et metteur en scène a créé « Le Mahabharata des Femmes ».
Lors du dernier conseil des ministres de la Commission de l’Océan Indien (COI) du 26 février 2016 qui s’est déroulé à la Réunion,celui-ci a adoptéla Décision 22 - Patrimoine de l’Indiaocéanie – Iconothèque Historique de l’Océan Indien (IHOI) et a approuvé la proposition du Département de La Réunion de coordonner la conduite de ce projet. Des Points Focaux Nationaux (PFN) représentant les Comores, les Seychelles, Madagascar, Maurice ont été accueillis à La Réunion du 1er au 3 juin 2016, l'occasion pour eux de contribuer à la définition de projets communs de conservation et de valorisation du patrimoine iconographique.
L’Artothèque départementale est née en 1991. 25 ans plus tard, l’Artothèque nous propose un voyage dans le temps et dans ses collections. 25 artistes, peintres, plasticiens, dessinateurs, sculpteurs, photographes, vidéastes, graffeurs, etc... une promenade d’artiste en artiste, d’oeuvre en oeuvre, à la découverte de l’art contemporain.
A l’occasion du bicentenaire de L’Amitié, la plus ancienne loge en activité de La Réunion, le Département a accueilli Les francs-maçons et la mer, une exposition conçue par le musée de la franc-maçonnerie et présentée à Paris du 24 avril au 24 octobre 2015.
Les panneaux réalisés par le musée à cette occasion ont été complétés par des textes du catalogue de l’exposition, et par des objets et des documents provenant de la collection particulière de Daniel Lamarque, de l’association philosophique philanthropique de l’Amitié (APPA) et des archives départementales de La Réunion.
Les chiens de Navarre sont de retour avec une création qui débusque la quête d’amour sous forme de cadavre. Une écriture théâtrale libre, faite d’improvisations et épurée de toute complexité. Ici on sort des codes et surtout on prend les chemins de traverse pour arriver on ne sait pas où. Ils sont de retour au Théâtre de Champ Fleuri avec "Les armoires normandes", où on parle d’amour avec un grand A et on se joue de l’amour pour en rire à en pleurer ou pleurer de rire.